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Sophia SAUGERA - Cytamphologue

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Remèdes en Cytamphology


Conférence Médiathèque de Mutzig - mardi 2 février 2016

Publié par BIOTIQUE votre Boutique Bio sur 3 Février 2016, 13:37pm

Catégories : #Conférence, #Agriculture biologique, #Biodynamie, #Agroforesterie, #alimentation bio, #environnement

Agriculture biologique :

Surface agricole française : 33 millions d’hectare (60% du territoire) 6% en agriculture biologique (8% prévus pour 2017 & 20% en 2020)

  • supprime les intrants chimiques. En conventionnel 80.000 T de pesticides (10 millions de tonnes d’engrais)
  • fixe le carbone dans le sol par sa teneur augmentée en matière organique – absorbe l’eau des pluies (microfaune, microbiote – bactéries - champignons)
  • accroît le captage de l’eau, du CO² et, donc, la fertilité des sols ; nettoie les nappes phréatiques (protège les agriculteurs)
  • favorise les rotations longues et variées des cultures, contrôle les mauvaises herbes par la rotation des cultures, le binage et – cas particulier pour la carotte – désherbage thermique (mauvais bilan écologique)
  • stimule les sols et les plantes (purins de plantes – algues) – favorise les cultures associées (haricot vert + laitue + oignon – brocolis + haricot)
  • ne laisse jamais la terre à nu pour ne pas gâcher d’énergie solaire, par exemple en août - couvre les sols en hiver pour favoriser le foisonnement biologique – les plantes en décomposition forment une litière protectrice qui restitue ensuite aux sols la matière organique
  • ne laboure pas (pas de tracteurs puissants = économie de gasoil) et confie la gestion des sols aux seuls lombrics, nématodes et champignons qui le peuplent, le travaillent et l’aèrent. Au contraire du labour, qui stimule l’apparition de bactéries porteuses de maladies, détruit le mycélium
  • lutte biologique contre les ravageurs – ennemis naturels en serre, maladie (virus ciblé) – pièges à phéromones (confusion des mâles) – produits naturels (pyrèthre, savon noir, huile de colza)
  • replante des haies pour favoriser l’installation des insectes insectivores, des nichoirs pour les oiseaux ou les chauves-souris insectivores, des perchoirs pour les buses (rongeurs)
  • maintien le tissus social, les emplois, la connaissance
  • pas d’O.G.M .

En matière de traitements : En agriculture biologique, l’objectif est de parvenir à un équilibre entre les ravageurs et leurs ennemis naturels tel qu’il ne soit pas nécessaire d’intervenir. Les seuls produits « chimiques » utilisés sont :

- Le sel de cuivre, autorisé à raison de 6kg par hectare et par an mais la moyenne utilisée est de 2 kg. - le souffre – des substances minérales simples qui ne laissent pas de résidus. Utilisé en trop grandes quantités, le cuivre peut cependant avoir un impact défavorable sur l’activité biologique des sols. En agriculture conventionnelle, aucune limitation spécifique n’existe, ce qui devrait changer en 2016, à l’échelle européenne.

Tous les autres traitements sont naturels : algues, prêle, ortie par exemple, en synergie avec le cuivre et le souffre pour une plus grande efficacité, donc des quantités moindres.

Bio c’est cher :

Les contrôles, les semences bio, l’alimentation des animaux (non-OGM), les apports de matière organique sont des postes de charge importants. Frais de main d’œuvre également + élevés : surveillance des troupeaux et des cultures, désherbage mécaniques, travail du sol, etc.

Les semences biologiques sont plus chères ; lorsqu’une ferme n’est pas totalement autonome elle doit également acheter des engrais biologiques et la nourriture des animaux. Certaines variétés utilisées pour l’agriculture sont plus rustiques, plus résistantes aux attaques des nuisibles, mais ont un rendement moindre.

Les subventions sont les mêmes qu’en agriculture conventionnelle mais les rotations de cultures différentes. Or certaines cultures sont moins subventionnées ou pas du tout, comme les légumineuses et les protéagineux. En conventionnel, on cultive principalement du blé et du maïs, qui épuisent les sols mais sont bien subventionnés.

Elles s’améliorent un peu avec la nouvelle PAC 2015-2020. Elles peuvent varier de 50 € à 900 € à l’hectare, sur 5 ans = aide aux agriculteurs, aide propre à l’agroforesterie, indemnité compensatoire de handicap naturel (montagne, piémont, zone défavorisée simple, soutien à l’herbe), soutien aux protéines végétales, protéagineux, légumineuses. Un agriculteur bio ne doit pas rester seul s’il veut avancer. Terre de liens : protéger les terres, impliquer les décideurs, aider les paysans à s’installer, mobiliser les citoyens.

Avec une meilleure répartition des richesses, la faim dans le monde pourrait disparaître : on estime qu’il faut en moyenne 200kg d’équivalent céréales par habitant et par an pour être bien nourri. Or nous en produisons aujourd’hui 330kg.

Si l’agriculture biologique implique dans les pays développés des rendements inférieurs de 10% à 20% à ceux de l’agriculture conventionnelle, elle permet en revanche d’améliorer les rendements de 50% à 100% dans les pays du Sud, tout en augmentant l’autonomie des paysans. Quand l’agriculture bio améliore la qualité des sols, l’agriculture conventionnelle les dégrade voire les rend impropres à la culture.

Blocages psychologiques :

Le sol n’existe ni dans l’enseignement agricole, ni dans les coopératives, ni chez les agriculteurs (source http://www.ofsv.org/)

Ils sont nombreux : « regard du père » dont la plupart des exploitants ont hérité la terre, celui des voisins, sans oublier l’esthétique du champ « propre » c’est à dire sans une mauvaise herbe qui dépasse - mais surtout agronomiques et économiques : ces nouvelles méthodes induisent des sacrifices de rendement, l’abondance de végétation attire les ravageur.

Ce qui est contredit par les récentes observations des scientifiques et fait voler en éclats 60 ans de pratiques agricoles = le rendement + stable avec un nombre de génotypes + important s’explique par les capacités individuelles de résistance de chaque individu, ce qui augment les chances qu’au moins une partie de la population soit moins affectée par le manque d’eau.

On s’attaque à l’une des mamelles de la France, édictées depuis Henri IV…

Autre exemple : source Vittel Sté Nestlé « Leur manière de faire, ce n’est pas notre religion : on veut notre maïs, des rendements élevés, et surtout être maîtres chez nous ».

Agriculture biodynamique :

Rudolph Steiner (1861 – 1925) d’origine autrichienne – anthroposophe - Maria Thun – 1922 – 2012 – Calendrier lunaire - Première conversion d’un domaine en agriculture bio-dynamique : 1925 en Alsace

L’essence de l’agriculture bio-dynamique : toute ferme est un organisme vivant qui doit être le + diversifié et le + autonome possible - les animaux mangent l’alimentation produite sur la ferme, leur fumure nourrit les plantes et le sol, comprenant des espèces animales adaptées au lieu en nombre et en diversité, accompagnées des différentes productions végétales (prairies, céréales, cultures légumières et arboriculture fruitière et forestière).

L’agriculture bio-dynamique attache une grande importance au respect et au renforcement des cycles de vie : germination, croissance, maturité. Elle utilise des préparations bio-dynamiques à base de de quartz et/ou de plantes médicinales (bouse de corne, silice de corne pour une meilleure utilisation de la lumière - pissenlit, ortie, prêle) ; prépare le compost, pour stimuler la vie des sols.

Dynamisation : création d’un chaos, puis d’un vortex, en alternance, pendant une heure, dans de l’eau de qualité (enregistre l’information dans le produit). Puis, brumisation très fine sur les cultures. Elle permet d’agir sur divers processus essentiels, notamment ceux liés aux éléments clefs tels que : silice, calcium, potasse, phosphore, sodium, azote, hydrogène, oxygène, carbone et souffre.

Elle favorise également l’équilibre entre différentes forces cosmiques et terrestres, qui sont à l’origine d’une faune et d’une flore plus diversifiées et plus abondantes, ainsi que d’un développement plus équilibré de la plante. On a ainsi découvert que les semis faits avant la pleine lune produisent des carottes particulièrement bonnes. La croissance se fait d’une façon plus harmonieuse, les fruits sont pleinement mûrs, développent leur arôme caractéristique et nourrissent ainsi le corps, l’âme et l’esprit.

Agro-foresterie : (170.000 hectares en 2008)

Associer les arbres et les cultures. Concept né dans les années 1970 face aux déforestations galopantes – Source « l’Ecologiste » n°40 – été 2013

De tous temps et en tous lieux, l’arbre est un outil d’aménagement et de production indispensable à l’agriculture. La moitié des arbres dans le monde est située hors de la forêt, beaucoup de forêts sont aussi et surtout des agroforêts ou forêts domestiques.

Qu’elle soit tropicale ou tempérée, l’agroforesterie désigne des pratiques agricoles utilisant les arbres autour et dans les champs, sous toutes les formes d’aménagement (haies, ripisylves, bosquets, alignements, etc.).

En plus de pratiques agricoles similaires à l’agriculture biologique :

Les arbres produisent beaucoup avec peu (du bois, des fleurs, des fruits, de l’eau, des animaux). La forêt : pas d’arrosage, de labour, de sarclage, d’amendement.

Tout pousse sous les arbres : « rien ne pousse sous les noyers » mais ce qui est vrai pour un arbre centenaire ne l’est pas pour un jeune arbre agroforestier, installé au bon endroit, au bon moment et qui devra, dès le départ, s’adapter au système de production mis en place par l’agriculteur : le jeune alisier planté dans un champ de blé n’aura d’autre choix que de propulser ses racines en profondeur. En raisonnant les densités à l’hectare, les espacements et en appliquant les tailles de formation adaptées pour produire du bois, conserver l’ensoleillement des étages sous-jacents, le mélange des arbres et des cultures devient un mode coopératif.

L’agroforesterie d’aujourd’hui repose sur une grande diversité génétique d’essences forestières locales, adaptées aux conditions pédoclimatiques (pédologie : études des sols et de leur évolution) du territoire concerné. Soumis au stress (soleil, eau, vent, nutriments) les arbres des champs développent de grandes capacités de résistance et d’adaptation face aux maladies et aux aléas climatiques, permettant de protéger les sols des coups de vent, du ruissellement et de l’érosion.

Elle laisse travailler la nature et (ré)active le génie végétal. Assainir un sol humide, hydrater un sol sec : le même arbre est capable de faire une chose et son contraire.

On produit peut-être plus en agroforesterie, et certainement mieux : des aliments, de la biomasse et une plus grande diversité de cultures, de services et de produits (fourrage, bois d’œuvre, bois énergie, bois raméal fragmenté (BRF), paillage, fruits…).

Agriculture raisonnée :

Décret n°2002-631 du 25 avril 2002 « les modes de production raisonnés en agriculture consistent en la mise en œuvre, par l’exploitant agricole sur l’ensemble de son exploitation dans une approche globale de celle-ci, de moyens techniques et de pratiques agricoles conformes aux exigence du référentiel de l’agriculture raisonnée ».

Le référentiel porte sur le respect de l’environnement, la maîtrise des risques sanitaires, la santé et la sécurité au travail et le bien-être des animaux. Ses 103 exigences nationales (98 initiales en 2002, 5 supplémentaires en 2005), sont :

45 des exigences réglementaires, donc l’application pure et simple de la loi. Par exemple « n’utiliser que des produits bénéficiant d’une autorisation de mise sur le marché » ou encore, à propos des animaux « réaliser des contrôles sanitaires exigés par rapport aux maladies réglementées »

19 des engagements que l’agriculteur doit respecter dans un délai de 2 ans lors de l’attribution de sa qualification (vérifiés par un organisme indépendant - qu’il paye).

Les 39 autres consistent en une vulgarisation des bonnes pratiques agro-environnementales.

En d’autres termes, l’agriculture raisonnée n’est que de l’agriculture conventionnelle qui respecte les réglementations à la lettre, et ce, contrôlé par un organisme certificateur indépendant. A titre d’exemple, les OGM sont autorisés.

Agriculture intégrée : modèle anglo-saxon de l’agriculture raisonnée.

Pourquoi manger bio :

  • c’est fournir à l’homme et à l’animal des aliments de qualité garantissant des conditions de culture et d’élevage non polluantes et respectueuses du bien-être animal et des écosystèmes.
  • soutenir une agriculture durable, moderne, dont les techniques de production préservent la fertilité de la terre, respectent l’environnement et les animaux.
  • contribuer à maintenir des structures agricoles dans le tissus rural.
  • favoriser la compréhension entre producteur et consommateur par l’information sur les conditions de production et de transformation, par la traçabilité et par la transparence des garanties.
  • contribuer à un monde durable préservant la biodiversité avec moins de pesticides et moins de polluants.

A ce jour, la production biologique répond à une logique de moyens et non de résultats. Néanmoins, plusieurs études ont mis en évidence une qualité supérieure des produits biologiques sur les points suivants :

  • teneur en nitrates et pesticides nettement réduite
  • valeur nutritionnelle supérieure
  • teneur en eau plus faible
  • teneur en matière sèche supérieure
  • meilleur équilibre en éléments minéraux et oligo-éléments

Récoltés à maturité, les produits biologiques ont des qualités organoleptiques (goût, odeur, texture) différentes des produits conventionnels. L’évaluation de ces qualités reste discutée, bien que de nombreux tests rapportés dans la presse fassent état de leur supériorité.

Pesticides dans le vin :

La France est le 1er consommateur de pesticides en Europe, le 4e à l’échelle mondiale, avec 61.000 tonnes de produits de synthèse utilisés en 2010.

En 2008, les associations du Pesticides Action Network Europe (PAN Europe), dont Génération Futures, ont publié les résultats d’une campagne d’analyses réalisées sur des vins d’Europe et du monde entier, et dénoncent la contamination généralisée de ces vins par des résidus de pesticides.

Source : econo-ecolo.org avril 2008

40 bouteilles de vin rouge ont été analysées, en provenance de France, Autriche, Allemagne, Italie, Portugal, Afrique du Sud, Australie, Chili. 34 étaient issus de l’agriculture intensive et 6 de l’agriculture biologique.

Les échantillons de vins conventionnels contenaient de 4 à 10 résidus de pesticides différents, pour un niveau de contamination jusqu’à 5800 + élevés que l’eau potable. Cependant, les niveaux de contamination dans cette étude sont variables, et ne dépassent pas les limites maximales autorisées (LMR) pour le vin.

Les vins biologiques analysés ne contenaient pas de résidus de pesticides, à l’exception d’un seul, laquelle contamination avait été causées par des dérives de pulvérisation en provenance des parcelles voisines (non-bio).

L’eau :

(Exemple Vittel) + Source www.fnab.org - nos actions – Eau

Seul l’agriculture biologique permet d’améliorer la qualité de l’eau, les autres dispositifs de type « réduction d’intrants » ne permettant, au mieux, que de maintenir la qualité de l’eau au même niveau – Expérience de Munich ou Lons le Saunier (colloque PIRENE Seine – juin 2009).

Alimentation :

Source – www.generations-futures.fr

Rapport 2015 de l’Efsa (European Food Safety Authority) : 41% des échantillons testés contiennent des pesticides dans des quantités inférieures aux LMR et 3,3% des quantités supérieures. Ce taux nous classe au 4e pire rang européen, derrière l’Islande, la Bulgarie et le Portugal, et très loin devant l’Italie ou l’Allemagne, qui n’ont que 1,2% de dépassement, soit près de 3 fois moins.

Les chiffres de l’EFSA reposent sur des moyennes de contamination. Or la contamination réelle de fruits et légumes très fréquemment consommés est bien supérieure à ces moyennes. Ainsi pour les végétaux suivant produits en France les chiffres de contamination < LMR / contamination> LMR sont : pomme 66%/1.5% , salade : 64%/4.3% , pêche : 86%/0 , fraise : 73%/2.2%

En France on n’analyse que peu d’échantillons de fruits et légumes au regard de la taille de notre population et donc de notre marché : 9,2 échantillons pour 100 000 habitants ce qui fait de nous le 5e pire pays européen selon ce critère. Par comparaison le Danemark fait analyser 43,5 échantillons pour 100 000 habitants, l’Italie 15,7 et l’Allemagne 21,8.

Des résidus multiples ont été retrouvés dans 27,3% des échantillons (de 2 ou + de 10 résidus différents par échantillon). Cela veut dire que à la fin de la journée le nombre de résidus ingérés sera important car si même une moitié environ des aliments sont contaminés par des pesticides, ceux qui sont contaminés peuvent l’être par 2 , 4 , 7 , 10… pesticides différents ! Cela explique le chiffre de 36 résidus de pesticides différent ingérés par jour mis en évidence dans notre enquête Menus toxiques

Les Limites Maximales en résidus (LMR) ne protègent pas la santé car elles sont définies substance par substance… Or dans la réalité nous sommes exposés à des cocktails de résidus de pesticides qui ne sont pas évalués ! De plus les LMR portent sur les matières actives de pesticides. Or, dans la vraie vie ce sont des produits formulés qui sont utilisés = la matière active + des adjuvants divers qui accroissent la dangerosité des matières actives en facilitant la pénétration des matières actives dans les plantes… et aussi dans nos cellules ! Les LMR ne prennent pas non plus en compte les effets des nombreux pesticides qui sont des perturbateurs endocriniens qui menacent la santé du fœtus à des doses faiblissimes… quand la maman mange, boit ou respire ces résidus de pesticides !

Enfin l’enquête coordonnée européenne ne repose que sur 12 aliments et l’EFSA prétend que les programmes de contrôle nationaux, basés sur bien plus d’échantillons, ne sont pas statistiquement représentatifs, car souvent ciblés sur des filières à risque. Pour faire un travail réellement utile il faudrait faire un programme de contrôle coordonné européen sur bien plus de produits différents et/ou prendre en compte la partie des plans de contrôle nationaux qui ne sont pas ciblés sur des filières à risque quand cela existe.

9,5 milliards d’habitants en 2050 = peu probable

  • maladies des pays développés (1)« malbouffe » et ses conséquences (obésité (300 millions de personnes en 2013) diabète - cholestérol – infarctus, etc.) – (2) intrants chimiques (engrais – pesticides) depuis 60 ans et leurs conséquences (Parkinson, cancers (1 homme sur 2 – 2 femmes sur 3) - (3) produits chimiques dans l’eau (hormones, chimiothérapie, anxiolytiques…) et leurs conséquences (eutrophisation des cours d’eau, féminisation des batraciens, stérilité humaine…), dans les produits cosmétiques, les produits d’entretien (P.G.E. paraben, etc.)
  • maladies des pays en voie de développement (1) pauvreté = dénutrition, absence d’hygiène = maladies (SIDA - choléra) – manque d’accès aux soins, de cliniques, dispensaires, écoles (enseignement des règles d’hygiène, par exemple) - (2) vol des terres cultivables par les pays riches (Chine notamment mais également Pays-Bas et autres pays d’Europe)
  • politiques de natalité (Chine – Inde)
Huile de palme bio

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à Vittel, Nestlé met du vert dans l'or bleu - Le Monde - Octobre 2010
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